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Quelques anecdotes !
Cernées par la mafia Italienne au pied de l’Etna !
En 1982 départ pour faire le tour de l’ Italie en caravane avec mes parents et ma soeur !
Un matin nous roulons direction le volcan, l’Etna.
Je ne sais plus pour quelle raison mais une fois garés sur le parking , il n’y a que ma soeur et mon père qui montent à pied au Volcan, et je reste dans la voiture avec ma mère.
Il y avait beaucoup de voitures garées sur le parking mais tout le monde était au volcan sauf ma mère et moi.
Tout à coup voilà que débarque un groupe d’Italiens avec des couteaux ; ils rodent autour des voitures puis commencent à les ouvrir une par une...ils volaient tout ce qu’il y avait dans chaque voiture ! Ma mère contre laquelle je me blottissais me disait : « ne bouge pas ! ».
Et en fait nous avons eu peur mais ils ne nous ont pas embêté , je crois même qu’ils nous ont souri en ouvrant la voiture garée à notre gauche, puis celle à droite de la nôtre !
La carte d’identité oubliée !
En 1992 1er grand voyage en avion nous partons en Guadeloupe avec mes parents - Départ de Paris-Roissy.
Au moment de l’enregistrement on nous demande de fournir les cartes d’identité hors nous nous apercevons que nous avons oublié la mienne à Nîmes ! Ma mère et moi étions en larmes dans l’aéroport ! Appel rapide à ma grand mère ( qui ne payait pas le train mon grand-père étant cheminot ) pour savoir si elle peut prendre l’un des premiers trains le lendemain matin pour monter ma carte d’identité afin que je puisse prendre l’avion du lendemain à Roissy. Ok, donc mes parents sont quand même partis sur le vol prévu et moi je suis rentrée en RER chez ma sœur ( ou j’ai passé la nuit ) qui habitait à l’époque en région Parisienne en attendant que mamie arrive. Ma grand-mère m’a accompagné jusqu’à l’enregistrement à l’aéroport les larmes aux yeux avant de reprendre le train pour Nimes « ça y est elle est partie ! » . Première fois que je prenais l’avion seule, j’étais à côté d’une jeune fille guadeloupéenne noire avec des tresses on a pu discuter une bonne partie du trajet, j’ai toujours aimé les noir(e)s avec des tresses !!
Le requin de Porticcio.
L’été 1986 peut-être nous campions a Porticcio avec ma tantes oncle et deux cousins. Mon grand cousin mon père et mon oncle étaient plein de blagues... un jour en rigolant ( sans doute après un digestif à la myrte!) une idée émerge : « on va faire une blague sur la plage, on va faire croire qu’il y a un requin dans les parages ! ».
Voilà que l’on se met à imaginer un scénario avec mon cousin chasseur sous Marin qui ferait semblant à une trentaine de mètre de la plage d’être poursuivi par un requin ( mais qui en fait le tirerait )...
Préparation par les grands bricoleurs et chasseurs de l’aileron de requin censé flotter à la surface de l’eau avec du plastic découpé peint colle sur la planche de Morey de mon second cousin, lesté avec bouteilles d’eau remplies de sable et relié à la combi de mon cousin par une longue corde.
Le jour attendu avec impatience arriva enfin ...nous étions tous allongés sur la plage sauf mon grand cousin qui devait passer en trainant le requin !
Son amie de l’époque une Américaine était censée se lever tout à coup sur la plage en criant avec son accent « un squale, un squale ! », ce qu’elle a fait. Mon autre cousin et moi nous nous pouffions de rire sous notre serviette !
Mais en fait la blague n’a que très moyennement marché. Mon cousin et l’aileron n’étaient pas énormément visibles et on voyait un peu la planche de Morey qui trangait à la surface ! Quelques personnes ont réagi mais cela n’a pas créé une émeute comme nous l’espérions ! Il y a eu plus de rigolage au moment de la préparation que lors de la scène proprement dite ! Et étrange hasard, quelques années plus tard aux Seychelles mon grand cousin s’est réellement trouvé poursuivi par un requin !
La nuit de tempête en haut de la falaise à Collioures.
L’été après le bac en 1995 ( ou été 1996 ?) nous décidons mon petit ami de l’époque et mon « ex » couple d’amis préféré de passer quelques jours de vacances ensemble sur la Côte Vermeille. Nous partons tous les 4 ravis en train de Nimes en mode routard avec nos gros sacs à dos.
Premier jour à Collioures où nous nous installons pour passer la nuit. On est content, on a trouvé un endroit assez retranché un peu éloigné du monde et on est presque au bout de la falaise avec une très belle vue sur la mer ! Je pense que nous étions au camping mais je n’ai pas le souvenir que l’endroit où nous nous étions installés était très bien délimité.
En fin d’après-midi , le vent commence à se lever.
Le vent n’a fait qu’amplifier jusqu’à la tombée de la nuit.
Au moment où nous nous sommes couchés, le vent s’engouffrait dans la toile de nos tentes créant un bruit très pénible , les tentes se tordaient et j’avais presque l’impression ( en exagérant un peu ) d’être prise dans une tempête sur le chemin menant à l’Himalaya !
« Heu, vous croyez que ça va aller, que la tente ne va pas s’envoler et nous projeter tous les 4 en bas de la falaise ?! . Les gars : « Oui, oui ça ira... avec notre poids dedans , et puis on a bien renforcé les piquets ».
Bref, la nuit a été difficile mais on s’en est sorti sain et sauf en haut de la falaise de Collioures ! Ouf !
La vallée des Merveilles.
L’été 1997 j’organise avec ma copine Carro et mon ami Alex une randonnée de quelques jours dans la vallée des Merveilles. Nous prévoyons ensemble le nécessaire pour nos sacs à dos que nous allions porter toute la journée en passant les différentes étapes de nos randonnées et pour passer aussi la nuit : un rouleau, un duvet...
Mon sac pesait 10 kg et j’étais assez menue à l’époque.
Nous commençons la randonnée , le sac tirait beaucoup sur mon dos et j’avais vraiment beaucoup de mal à marcher avec.
En fait ,malgré ma bonne volonté ( du moins me semble-t-il ) , je ne suis pas du tout arrivée à avancer très longtemps avec ce sac. C’était un calvaire pour moi.
Finalement nous nous sommes débrouillés en laissant des affaires bien cachées à un endroit précis dans la vallée ( peut-être même dans une tente ,je ne me souviens pas précisément il faudrait demander à Alex qui peut-être se souvient ? ), et j’ai pu continuer le reste de la randonnée avec un autre sac bien plus léger mais je crois que nous n’avons pas fait tout le trajet prévu au départ.
Le casque de scooter a l’eau !
Voyage en couple au Vietnam l’été 2004. Bonne partie de la route ce jour-là en scooter vers Cai-Rang pour voir le marché avec arrêt dans un village que l’on visite un moment en promenant sur un pont. Et d’un coup , hop! Je lâche je ne sais plus comment mon casque de scooter ( peut-être en prenant une photo ? ) qui tombe dans la rivière avec du courant ! Aussitôt un enfant du village vivant au bord de celle-ci se précipite et plonge pour aller le récupérer et me ramène le casque !
La nuit sur le port à Majorque !
A la fin d’un petit voyage aux Baléares nous décidons ( je ne sais plus pour quelles raisons , peut-être financières ) mon «compagnon de route» et moi de passer la nuit à la belle étoile en dormant avec nos sacs de couchage sur le port touristique de Palma de Majorque.
Ce fût une nuit agitée car nous n’avions pas tout à fait pris le rythme Espagnol et à 11h-minuit alors que les Espagnols mangeaient nous n’arrivions pas à nous endormir sur le port entre le bruit et les lumières , et vers 3h-4H du matin des gars bourrés passaient en balladant à une cinquantaine de mètres de nous. Mon compagnon a passé la nuit avec un couteau dans la main !
Malade en Inde
Voyage de presque 3 semaine dans le Nord de l’Inde , plein de petits plats appétissants nous sont présentés et je ne mange ( de mémoire... il aurait fallu demander à Igor qui se souvient peut-être plus précisément mais on m’a d’une certaine manière selon moi interdit de lui parler ) que ce que les guides de voyages ont conseillé à savoir pas de légumes crus , pas d’eau non cachetee...malheureusement j’ai du mal à apprécier car je suis malade tous les jours avec des « désordres gastriques » à partir du 4e/5e jour ! Heureusement dans un hôtel un après-midi je rencontre un médecin qui me fournit des antibiotiques à spectres larges qu’il m’a conseillé de prendre car je commençais à avoir du sang dans les selles ce qui paraît-il peut-être dangereux ! Rentrée d’Inde l’été 2005 en pesant moins de 45 kilos !
LE VOYAGE QUI M ‘A LE PLUS MARQUE QUAND J’ETAIS ENFANT !
Premier voyage à Ibiza
En aout 1980 ( j’avais 3 ans ) nous partons dans la R6 orange chargée à bloc avec mes parents ma soeur et moi prendre le ferry pour Ibiza. Ma soeur et moi ne pouvions pas du tout bouger, entourées par les bagages à l’arrière.
Nous avons passé la nuit dans le bateau en dormant dans des cabines avec des couchettes. J’ai trouvé ça merveilleux, c’est la première fois que je dormais dans un bateau.
J’ai ensuite vu les fameuses maisons d’Ibiza qui m’ont marqué à vie , dont j’ai beaucoup parlé par la suite, et dont je rêve encore aujourd’hui !
Je m’étais fait une grande copine au camping ( où je traînais pas mal dans la poussière sans maillot ! ) , elle était Allemande et s’appelait Elsa ( prononcer Elssa ), on arrivait bien à communiquer malgré que nous ne parlions pas la même langue.
Mon père chassait plein de beaux poissons, les fonds étaient riches et colorés à l’époque. C’est cet été là que j’ai fait mes premières brasses dans les criques désertes , grâce à ma mère qui avait peur de l’eau et qui ne voulait pas que sa fille ait la même crainte !
A bientôt pour de nouvelles aventures ! Peut-être qu’en vieillissant on fait moins de bêtises, quoique ?!